Emmanuèle, romancière épanouie dans sa vie privée et professionnelle, se précipite à l’hôpital, son père André vient de faire un AVC.
Fantasque, aimant passionnément la vie mais diminué, il demande à sa fille de l’aider à en finir.
Avec l’aide de sa sœur Pascale, elle va devoir choisir : accepter la volonté de son père ou le convaincre de changer d’avis.
Dans "Tout s’est bien passé", on retrouve avec bonheur cette main sûre de cinéaste qui, après plus d’une vingtaine de longs-métrages, continue de composer chaque oeuvre avec une attention au détail et un goût impeccables. Culturopoing.com
Parvenu à la maturité, le cinéaste semble ici poser à nouveaux frais la question du désir, perçu non dans son incandescence passionnelle mais dans son rôle de détermination obsessionnelle, implacable, de l’être. Positif
POUR : Dans ce rôle, André Dussollier, épatant de démesure, emmène le film à un endroit dérangeant voire malaisant qui n'obéit précisément à aucune règle préétablie. Soit exactement ce que ressentent ceux qui sont confrontés à une tragédie identique. Première
Ce film limpide et épuré, ample et nuancé, évoque l’amour qu’il faut pour passer sur des humiliations enfantines (ainsi qu’en attestent certains souvenirs d’Emmanuèle) et accepter de voir un père, de plus en plus requinqué, se réjouir de sa fin prochaine. L'Obs
Sophie Marceau incarne avec beaucoup de sensibilité et de retenue cette adulte solide, bouleversée jusque dans ses rêves mais se découvrant aussi un courage insoupçonné. Télérama
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